Notre saisine CADA
Nous avons saisi la CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) le 6 janvier 2025 afin d’exiger des réponses quant à la campagne de prévention des « virus de l’hiver » qui intègre le SARS-CoV-2. Suite à la réponse de la Direction Générale de la Santé (DGS), nous avons décidé de décortiquer en vidéo les inexactitudes et éléments de langage utilisés dans leur courrier.
Pour une lecture plus aisée du courrier en ALT, voici le document réponse en .doc : ICI
1 – Le COVID, un « virus de l’hiver » ?
Rappel de la question :
Nous souhaiterions avoir communication des données et / ou études sur lesquelles vous vous appuyez pour dire que le COVID fait partie des
« virus de l’hiver ».
Pareille affirmation ne correspond pas à des études et données dont nous avons pu avoir connaissance (notre courrier intégral ici). La réponse ici
Notre question intégrale :
La réponse intégrale de la DGS :


2 – Le lavage de main, le « plus » efficace contre « tous » les virus de l’hiver ?
Rappel de la question :
Nous souhaiterions avoir communication des données et / ou études sur lesquelles vous vous appuyez pour dire « le lavage des mains est ce qui protège le mieux de TOUS les « virus de l’hiver ».
Pareille affirmation ne correspond pas à des études et données dont nous avons pu avoir connaissance (notre courrier intégral ici).
Notre question intégrale :
La réponse intégrale de la DGS :



3 – 80% des virus de l’hiver éliminés par le lavage des mains ?
Rappel de la question :
Nous souhaiterions avoir communication des données et / ou études concernant le chiffre de 80% sur l’affichette de lavage de mains.
Pareille affirmation ne correspond pas à des études et données dont nous avons pu avoir connaissance (notre courrier intégral ici).
Notre question 3 intégrale :
La réponse à la question 3 de la DGS :


4 – Les microbes sont-ils vraiment projetés à 6 mètres avant de retomber ?
Rappel de la question :
- Nous souhaiterions avoir communication des données et / ou études concernant l’affirmation selon laquelle les microbes seraient projetés jusqu’à 6 mètres pour y retomber.
Nous avons, de notre côté, consulté la guidance OMS ”Évaluation des risques liés à la transmission aérienne intérieure dans le contexte du SRAS-CoV-2” https://t.co/cG5zz5gZOQ , qui montre une exposition à longue distance au virus. (notre courrier intégral ici).
La réponse ICI
Notre question 4 intégrale :
La réponse de la DGS au point 4 :


« L’information selon laquelle un éternuement peut projeter des particules jusqu’à 6 mètres à une vitesse de 50 km/h repose sur des études consacrées à la dynamique des gouttelettes respiratoires. Ces recherches démontrent que les particules respiratoires, pouvant contenir des agents pathogènes »…