65 MILLIONS ET ÇA CONTINUE
65 millions de covid long et ça continue Un aperçu de la recherche COVID, après 4 ans et demi de pandémie Ecrit avec les camarades d'Act Up - Paris INTRODUCTION 4 ans et demi après le début de la pandémie de SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie du COVID, il...
Le Covid et la Santé Publique, angles morts de Mediapart
A l’opposé de ce qui fait la réputation de ses collègues dans le paysage journalistique français, le nouvel article aborde la poursuite de la crise Covid sous un angle insolite pour ce média : celui de s’en tenir rigoureusement à la confusion établie par les autorités sanitaires françaises.
Salut l’artiste ! Alors cette pandémie ? (part 2)
Commençons cette deuxième élucubration sur le thème « Covid et métiers du spectacle vivant » par un petit exercice de pensée, une bête comparaison entre deux situations.
Voyager masquée à Cali, dépaysement assuré !
Vous savez quoi? Il est possible de ne pas se faire agresser ni maltraiter quand on porte un masque dans la rue ou dans un restaurant : et ça se passe à Cali, en Colombie.
Depuis que le port du masque n’est plus obligatoire à Paris, il est devenu parfois dangereux de le porter. Les gens me demandent de l’enlever en me criant que ce n’est plus obligatoire, voire se jettent sur moi pour me l’arracher. Ceci à l’air libre et dans les espaces clos. Dans les meilleurs des cas, je dois me justifier auprès des gens, et c’est trop fatiguant.
Salut l’artiste ! Alors, cette pandémie ?
Le déni général autour de la pandémie de covid-19, ainsi que la gravité de sa relativisation, n’est plus à démontrer. Mais je veux ici expliquer comment il affecte le domaine du spectacle d’une manière bien particulière.
Santé : le nouvel obscurantisme
Il y a quelques mois, on a subi cet édito hallucinant de bêtise et de validisme de Denis Robert, qui se moquait ouvertement des personnes, fragiles ou non, qui portaient encore le masque (pour rappel : “Pour la première fois depuis plus de deux ans, je voyage sans masque et m’étonne cependant de voir, ça et là, quelques résistants le porter toujours, embrigadés qu’ils sont à craindre d’être contaminés par un sourire humain” voir vidéo1) .